L’art vestimentaire est devenu une religion pour les "sapeurs" congolais. Les adeptes de la Société des Ambianceurs et des personnes Elégantes (SAPE) et les Sapephiles (ceux qui aiment la sape) ont en fait récemment une démonstration au Mémorial Pierre Savorgnan de Brazza pour honorer la mémoire de l’artiste musicien Rapha Boudzéki, «le Brazzavillois».
Une journée qui avait débuté par une messe d’action de grâce en Eglise Saint Pierre Claver de Bacongo à Brazzaville. Dans son homélie, l’abbé Anselme Badiabio, aumônier des Forces armées congolaises, nous a livrés ce message : «Notre vie sur terre est un passage. La sape est une étape de la vie mais, il faut passer de la sape extérieure à la sape intérieure. Par la sape, nous cherchons à reconnaître la valeur de Dieu pour saper notre cœur, pour que la beauté ne soit pas extérieure mais surtout intérieure» a-t-il dit. Poursuivant « que la sape est un atout, un tremplin pour l’unité nationale.»
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Daniele Tamagni's wonderful pictorial essay brilliantly manages to capture the ebullience of sapeur culture at its source in Bacongo, a sprawling suburb of Brazzaville in The Congo.
Le Sape (The Societe des Ambianceurs et des Personnes Elegantes), is one of the world's most exclusive clubs. It has recently become an international phenomenon with branches in places like Brazzaville, Kinshasa, Paris, Brussels and parts of South London.
The sapeur style and relationship to clothes is unique - a throwback to a lost world of pre-colonial elegance and decadence and at the same time it is futuristic. Members have their own code of honour, codes of professional conduct and strict notions of morality.
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